Augustown, Jamaïque, un après-midi d’avril 1982. Kaïa, un jeune garçon élevé dans la culture rastafari, rentre de l’école et se présente à sa grand-mère Ma taffy en pleurs, la tête nue. Son professeur a commis un sacrilège gravissime, il a coupé les dreadlocks de Kaïa, fer de lance de l’autoclapse : une calamité aux promesses d’apocalypse.
Et c’est le passé qui ressurgit : les souvenirs du prêcheur volant, les stigmates de l’esclavage, les chants d’amour, de mort et de libération.
By the Rivers of Babylon est un texte magnifique, à la croisée du magique et du poétique, à découvrir absolument !